Steeve Devolz était lui aussi de la partie lors de l’aventure en Coupe de 2001. En finale à Bâle, contre Servette, il a été aligné au milieu de terrain par son entraîneur Philippe Perret. Troisième volet de notre série sur les « Yverdonnois de 2001 ».
Formé à Echallens, Steeve Devolz faisait partie des nombreux Vaudois d’origine à composer le groupe qui a atteint la finale de la Coupe de Suisse en 2001. Son aventure à Yverdon Sport a même débuté cinq ans plus tôt, en 1996, alors qu’il rejoint les espoirs d’YS avec l’intention d’intégrer un jour la première équipe. Quelques mois plus tard, Lucien Favre, alors entraîneur d’YS, le convoque régulièrement avec la « une ». Mais la réalité civile le rappelle : Steeve Devolz entreprend alors son école de recrues, s’engage de surcroit du côté des Trois Sapins avant de revenir une année plus tard au Stade municipal, lors de la saison 1998-1999.
Steeve Devolz est décrit par ceux qui l’ont vu évoluer comme un joueur «polyvalent, discret et fiable. De ces joueurs qui se blessent que très rarement.» Le Vaudois l’avoue volontiers, il n’a pas toujours eu une casquette de titulaire lors de sa carrière à Yverdon Sport. En LNB, l’année de la montée, il alignait facilement les rencontres, chose qui n’était pas forcément le cas à l’échelon supérieur.
Comme galvanisés
Et puis arrive cette fameuse saison 2000-2001, où tout semble un peu compliqué en championnat, au moment même où les succès s’enchaînent en Coupe de Suisse. «En championnat, nous avons manqué notre début de saison. Et puis après on est comme pris dans un engrenage. C’est très difficile d’en sortir. En Coupe, tout est remis à zéro. Plus tu avances dans la compétition, plus tes chances d’arriver au bout augmentent. Alors tu te prends au jeu, ça te galvanise. L’état d’esprit avant ces rencontres était très bon. L’équipe décuplait ses forces avant chacun de ces matchs.»
Avril 2001, YS sort Thoune aux tirs au but. Steeve Devolz (à droite) est entouré de Andreoli, Gohouri, Gil, Bamba, Minder, Favre, et le gardien Delay.
Certains facteurs étaient aussi favorables à YS, qui s’est qualifié à deux reprises au terme d’une séance de tirs au but. «Forcément, quand c’est le cas, il faut un brin de chance aussi. Je me souviens d’ailleurs de mon penalty tiré en quarts de finale à Thoune, raconte Steeve Devolz. Lorsque c’était mon tour, je ressentais énormément de pression. Il avait plu, le terrain été très gras. Au moment de m’élancer, je prévoyais d’ouvrir mon pied. Mais là, j’ai directement senti que le ballon n’allait pas bien partir. Je m’étais trop penché en arrière. J’ai vu le ballon s’envoler, j’étais certain qu’il allait finir sa course au-dessus. Et j’ai finalement tiré juste sous la latte… »
Ce soir-là, il y avait un mariage dans l’hôtel. On nous avait dit que l’on n’allait pas entendre les festivités…
Steeve Devolz
Préparation… mouvementée
Aujourd’hui encore actif dans le football – Steeve Devolz est vice-président au FC Echallens, le club de ses débuts – il se rappelle bien des jours qui avaient précédé la finale contre Servette. «Il y avait de la pression dans le groupe, c’est normal. Mais de la bonne pression. Pour ne rien aider, nous avions perdu notre gardien Florent Delay sur blessure, quelques jours avant la finale.» L’équipe était partie trois jours en Alsace pour préparer ce match. «Ce n’était pas franchement la coutume à cette époque de faire des mises au vert. Les rendez-vous se faisaient normalement assez tardivement, quelques heures avant le coup d’envoi.»
L’ancien joueur d’YS sur « son » terrain des Trois Sapins, à Echallens.
Et puis la veille de la finale, une surprise attendait les joueurs et le staff d’Yverdon Sport. «Il y avait un mariage dans notre hôtel. On nous avait garantis qu’on n’allait pas entendre les festivités. Au final, le personnel était passé dans les chambres pour nous demander si nous ne voulions pas des bouchons pour mettre dans les oreilles.»
21 ans plus tard
Steeve Devolz regrette évidemment le scénario de la finale (ndlr : perdue 3-0) même s’il en retient d’excellents souvenirs. «Dans une carrière, ce n’est pas rien. Les journaux parlent aujourd’hui beaucoup du parcours d’Yverdon Sport. Récemment, j’ai lu que la dernière fois que le club avait atteint la demi-finale, c’était justement il y a vingt-et-un ans. Je me suis dit : mais attends, c’est quand tu y étais, en fait ! » Yverdon Sport fera-t-il aussi bien cette saison ? Réponse le 21 avril au Stade municipal, avec la réception du FC St-Gall.
Nous remercions Steeve Devolz pour le temps accordé et lui souhaitons le meilleur pour la suite !
L’entraîneur d’YS Uli Forte l’avait annoncé avant le match : son équipe voulait remporter le derby vaudois de Challenge League après trois premières tentatives avortées cette saison (deux nuls et une défaite). YS l’a fait ce samedi en l’emportant 1-0 à la Pontaise.
Rien ne semblait pouvoir empêcher Yverdon Sport d’aller chercher son premier derby vaudois de la saison en Challenge League, ce samedi à la Pontaise. L’état d’esprit affiché face au voisin du Stade-Lausanne-Ouchy a été irréprochable et a permis aux joueurs d’Uli Forte de remporter trois points précieux après un revers assez sec concédé une semaine plus tôt sur son terrain contre le FC Vaduz (4-1). Contre le SLO, YS a attaqué et a défendu à onze et a tout fait pour ressortir vainqueur de ce derby. Même si les Lausannois ont poussé en fin de match, William Le Pogam et ses coéquipiers ont tenu pour bon pour ramener les trois points dans la Cité thermale (victoire finale 1-0).
Le seul but de la rencontre a été inscrit par Steve Beleck. L’attaquant d’YS a parfaitement conclu de la tête une action qui a vu William Le Pogam centrer délicieusement pour son coéquipier au point de penalty. De retour en tant que titulaire, le capitaine d’YS a réalisé un match plein sur le côté gauche de la défense dans le nouveau dispositif choisi par Uli Forte pour débuter cette rencontre contre le SLO. Anthony Sauthier, Nicolas Gétaz et Miguel Rodrigues ont également été aligné dans la défense à quatre et ont montré une excellente solidité.
Solides et conquérants
Si les Verts sont parvenus à conserver leur avantage, ils le doivent aussi à un dernier rideau hermétique au possible. Ce dernier a été parfaitement incarné par Kevin Martin, auteur de parades assez extraordinaires tout au long du match. Le portier d’YS est en plus allé chercher un penalty tiré par Zachary Hadji en fin de rencontre (84e) avant que l’attaquant du SLO ne soit contré par une myriade d’Yverdonnois venus l’empêcher de prendre le rebond après sa tentative.
Cette victoire obtenue contre le voisin fait un bien fou avant la réception de Schaffhouse, le 18 avril, et de St-Gall, en Coupe de Suisse trois jours plus tard. Elle permet en outre de faire le plein de confiance.
Président d’Yverdon Sport de 2000 à 2011, Paul-André Cornu a vécu de l’intérieur l’aventure en Coupe en 2001. Il en retient des souvenirs extraordinaires, mais se souvient aussi du défi logistique que représentait cette finale pour un comité alors restreint en nombre. Deuxième épisode notre série sur les « Yverdonnois de 2001 ».
Paul-André Cornu a gentiment accepté de revenir avec nous sur l’unique finale de Coupe disputée jusqu’à ce jour par Yverdon Sport. 21 ans après, l’ancien président d’YS a les souvenirs intacts et garde de ce parcours un souvenir unique. Malmené en championnat (LNA) à l’époque, YS avait surpris à peu près tout le monde en éliminant les adversaires les uns après les autres : Soleure (1/16), Zürich (1/8), Thoune (1/4) puis Lausanne (1/2).
«La Coupe de Suisse, c’est un peu dans ma nature, raconte Paul-André Cornu. Je suis un fervent défenseur de cette compétition, qui a d’ailleurs peut-être perdu en attractivité ces dernières années. Mais Yverdon Sport a toujours eu une histoire un peu particulière avec. Je me souviens bien de cette édition 2001. Lors de chaque match, il y avait quelque chose de très fort qui se créait dans l’équipe.» Et à la clef de ce formidable parcours, une qualification pour la finale, disputée à Bâle dans un Parc Saint-Jacques flambant neuf contre le « grand » Servette FC.
Paul-André Cornu et Lucien Favre, ici à Genève lors d’un match contre Servette au mois de mars 2000.
Une mise au vert « discrète »
Cette finale, perdue 3-0 contre les Grenats, l’ancien président d’YS l’avait pourtant minutieusement préparée avec son comité de l’époque, tandis que les supporters eux-mêmes avaient mis la main à la pâte concernant la gestion du déplacement. La veille du match, alors que joueurs et staff étaient déjà en Alsace, non loin d’où se tenait l’ultime duel, le comité d’YS et son président avaient expressément fait le déplacement pour montrer à leurs joueurs qu’ils étaient derrière eux. Avant de revenir à Yverdon dans la même soirée, pour finalement repartir le lendemain en direction du Parc Saint-Jacques : «On ne voulait pas se mêler de la préparation de l’équipe. L’objectif de notre venue était simplement de manifester notre soutien. L’équipe n’avait pas forcément répondu aux attentes en championnat. Elle venait en revanche de faire un parcours fantastique en Coupe de Suisse. L’opportunité était exceptionnelle.»
Paul-André Cornu, c’était aussi un président très proche de ses joueurs. Un homme fort qui a toujours mis un point d’honneur à ce que son équipe soit habitée d’un état d’esprit au-dessus de la moyenne, en intégrant toujours des joueurs aux cultures diverses, capables d’apporter à un groupe des qualités humaines uniques, et ainsi le renforcer. «C’est d’ailleurs assez symptomatique de voir que le but qui nous a qualifié en huitièmes de finale contre Zürich (ndlr : victoire 1-0) découle d’une action entièrement brésilienne. Un centre de Cavalho pour une réussite de Gil. On était une véritable famille.»
Champagne, mars 2022 : Paul-André Cornu et Gil se retrouvent !
Il suffit de voir les liens qu’entretient aujourd’hui encore Paul-André Cornu avec ses anciens joueurs pour comprendre à quel point l’ancien président d’YS se montrait dévoué pour son club et sa première équipe. En 2001, les hommes de Philippe Perret le lui avaient bien rendu en réalisant ce formidable parcours. «L’équipe était très soudée, personne ne trichait. Chacun faisait son boulot et assumait ses responsabilités.»
Cette fois, YS jouera devant son public
Il y a un peu plus de vingt ans, Yverdon Sport avait évolué à l’extérieur lors des quarts et de la demi-finale. Aujourd’hui, les Verts pourront s’appuyer sur le soutien de leur public pour tenter de créer l’exploit. «C’est une chance de pouvoir vivre un match pareil dans le Nord vaudois. J’ai le souvenir d’avoir accueilli St-Gall à l’époque. C’était un véritable défi. Ils avaient annoncé 800 personnes, mais s’étaient déplacés encore plus nombreux. Au dernier moment, nous avions organisé une vente de billets dans le train qui menait les fans à Yverdon. Cette année encore, il y aura du monde !»
Nous remercions Paul-André Cornu pour le temps accordé à se remémorer ces magnifiques souvenirs. Nous vous donnons rendez-vous le 21 avril au Stade municipal pour la demi-finale contre St-Gall !
Entraîneur-assistant de Murat Yakin en équipe de Suisse, Vincent Cavin était de l’aventure en 2001 lorsque Yverdon Sport a atteint sa première et unique finale de Coupe de Suisse jusqu’ici. L’enfant de Donneloye a accepté de revenir avec nous sur cette épopée en marge de la demi-finale contre St-Gall du 21 avril, pour le premier épisode de notre série sur les « Yverdonnois de 2001 ».
Milieu de terrain, Vincent Cavin ? Pas vraiment, aux yeux de son entraîneur Philippe Perret ! En 2001, le Nord-vaudois revient à Yverdon Sport après être passé par Lausanne et Bellinzone. Avec YS, le club de ses débuts dans le monde professionnel, Vincent Cavin vit une saison sportive 2000-2001 compliquée en championnat (LNA), alors que son équipe ne répond pas tout à fait aux attentes de la première division nationale. Sur le plan personnel, il se sent aussi un peu coupable. Repositionné en défense centrale – suite à diverses blessures dans l’effectif – alors qu’il est habitué à jouer au milieu, Vincent Cavin et ses coéquipiers encaissent passablement de buts. En première ligne, il accuse le coup. Il veut laver l’affront. Et la Coupe arrive. Elle représente une formidable opportunité de réagir.
«En championnat, nous étions en-dessous de certaines équipes, c’était assez net. Mais en Coupe, il se passait toujours quelque chose de spécial. A force de passer des tours, cela nous donnait énormément de positivité.» La réussite semble être du côté des Verts. Ils s’imposent par deux fois au bout des penalties : en quart de finale contre Thoune, puis en demies contre le Lausanne-Sport. A chaque fois à l’extérieur. «Pourquoi ça fonctionnait si bien ? Difficile à dire, mais au coup d’envoi d’un match de Coupe, les compteurs sont remis à zéro. Le championnat, c’est une compétition régulière. La Coupe est ponctuelle, l’exploit est toujours possible.» Cette année-là, il l’a été à de nombreuses reprises. Vincent Cavin et ses coéquipiers étaient donc allés jusqu’en finale avant de butter contre le Servette FC (0-3) au Parc Saint-Jacques.
Vincent Cavin ici avec l’équipe nationale, lors d’un déplacement à Lisbonne en octobre 2017.
Une histoire de pénalty
Cette aventure rappelle logiquement des souvenirs à l’actuel assistant de Murat Yakin en équipe de Suisse. «En ce temps, je n’étais pas un tireur de pénalty. Je ne l’ai jamais vraiment été du reste. Lors de la demi-finale à Lausanne, la séance s’était prolongée. Je devais être le huitième tireur et j’étais le prochain sur la liste. Sincèrement, je transpirais. Les pulsations grimpaient à une vitesse… Et puis la décision s’est faite juste avant que ce soit mon tour.» Yverdon Sport l’emporte au bout du suspense grâce un ultime pénalty transformé par Njohole Renatus. Sans que Vincent Cavin n’ait besoin de s’élancer.
«C’était une très belle expérience, malgré cette finale compliquée. Il y a eu certains faits de jeu aussi. Mais Servette s’était montré supérieur ce jour-là.» Le joueur de 26 ans est aligné en défense centrale pour cette finale, comme depuis quelques mois sous les couleurs d’Yverdon Sport. Janvier 2002, il prend la direction du Tessin pour retourner à Bellinzone. Et par la même occasion retrouver sa place de milieu de terrain, qu’il ne quittera plus jusqu’au terme de sa carrière.
«Ce repositionnement dans l’axe m’a vraiment appris énormément de choses. Jouer derrière, ça implique un autre type d’effort, un autre type de fatigue. Après les matchs, j’étais éreinté. C’était de la fatigue mentale. Derrière, Il y avait un peu moins de course, mais il fallait être attentif à tout. La moindre erreur de marquage, de positionnement, se payait cash, raconte Vincent Cavin. En tant que joueur, je voyais le football comme un divertissement. Je me sentais tout de même un peu mieux au cœur du jeu. Mais ça a été une leçon pour ma carrière. Ensuite, j’essayais de me comporter au milieu comme je me comportais en tant que défenseur. Jamais je ne voulais laisser passer l’adversaire.»
La séance de tirs au but contre Lausanne, lors de la demi-finale. Quel suspens !
Un exploit possible contre St-Gall
Vingt ans plus tard, le natif de Donneloye suit de près le parcours d’Yverdon Sport en Coupe cette saison. Il était d’ailleurs présent dans les tribunes du Stade municipal au mois de février à l’occasion de la demi-finale contre le LS, remportée devant 3’400 personnes (1-0). «Le public et l’ambiance ont galvanisé les joueurs. Si cette demi-finale devait se disputer à St-Gall, je crois que les chances d’YS auraient été très minces. Mais là, devant son public, l’équipe a les capacités de créer l’exploit, avance Vincent Cavin. Les dynamiques en championnat sont un peu opposées : tout semble sourire à St-Gall en ce moment. Mais je pense vraiment que, au coup d’envoi d’un match de cette importance, les dynamiques antérieures n’ont plus vraiment d’importance. Après, bien-sûr, il y a la gestion de l’enjeu qui joue un rôle important.»
Nous remercions Vincent Cavin pour le temps qu’il a nous a accordés. Nous vous donnons rendez-vous le jeudi 21 avril (19h) au Stade municipal pour vive ensemble cette demi-finale historique de Coupe de Suisse !
YS AXAWSL – FC Lucerne AXAWSL 0 – 3 (0 – 1) « Après une première période plutôt équilibrée, YSF, contraint d’aller marquer est tombé en seconde période. Nous avons comme trop souvent fait des cadeaux à l’adversaire sur l’ensemble de nos buts encaissés. Et nous avons manqué de créativité offensive afin de nous procurer d’avantage d’occasions. La seule occasion réellement dangereuse du match côté Yverdon arrive à la 92ème minute, avec une belle ouverture de Mimi par-dessus la défense et Noémie qui trouve le petit filet extérieur. Sur l’ensemble de son match, Noemie, excellente, aurait mérité de trouver le chemin des filets. Dommage pour YSF qui sort d’une brillante performance en coupe, mais qui n’arrive pas à réitérer les mêmes performances en championnat. » F. Davoli & A. Ciavardini & A. Keita & M. Castejon
YS M17 Renvoyé
Espoirs
YS M21 – FC Veyrier Sport 6 – 1 (2 – 0) (photo) « L’équipe et le staff ont beaucoup parlé durant la semaine suite au début de second tour « poussif » et « décevant ». Tout le monde avait à cœur de rebondir. La première mi-temps fut jalonnée d’occasions et de déchet devant le but et nous avons atteint la mi-temps avec 2 buts d’avance, maigre.. !! Veyrier est directement revenu dans le match sur corner en début de mi-temps. Ce but leur a donné un coup de fouet et nous étions de nouveau dans le doute. Le doute ne dura pas, puisque 5 minutes plus tard Jessé commença son festival qui le vit mettre 3 buts en 35 minutes. Bon match maîtrisé dans l’ensemble de toute l’équipe. Mention spéciale à Jessé, Ali et Noah qui ont apporté une certaine maitrise technique à l’équipe. Samedi prochain match à Signal Bernex, contre un concurrent direct à la montée, nous devons reproduire ce genre de match. » P. Isabella & S. Barberis & F. Simonin & F. Gudit & M. Castejon
Juniors
SLO YLA – YS & Région YLA 2 – 2 (1 – 1) « Nous savions que le match allait être compliqué (synthétique). Nous repartons déçus de Vidy, car nous voulions à tout prix revenir avec les 3 points. Nous débutons cette partie avec beaucoup d’envie et de motivation. Nous avons demandé aux gars de mettre la pression sur l’adversaire, jouer haut pour récupérer haut. Cela comporte des risques. Malheureusement, nous nous faisons avoir sur une contre-attaque… SLO joue correctement et rapidement vers l’avant, ce qui nous a mis en difficulté. Seul problème, le joueur qui part seul au but est hors-jeu d’un bon mètre mais l’arbitre ne le signale pas. 1-0 SLO (4’). Nous réagissons dans la foulée suite à un bon enchaînement entre Artur et Patrice, ce qui nous permet de nous relancer dans le match. 1-1 (7’). La suite, le moment clé du match, deux grosses occasions galvaudées seul à 8m, la première avec Ditor suite à une très belle séquence de jeu, malheureusement, il bute sur le gardien. La deuxième par Romain qui tire au-dessus. Score à la mi-temps 1-1. Nous prenons un but à la 65’ suite à une frappe et remise dans les pieds de l’attaquant. L’adversaire m’annonce que leur joueur était aussi hors-jeu sur ce but là. Poisse ! L’arbitre n’a pas été à son avantage sur les faits de jeu importants. C’est le football et nous devons l’accepter. Nous égalisons par miracle à la dernière seconde du match grâce à Patrice. Nous avons mis une grosse pression en prenant des risques, nous avons bien fait. Score final 2-2 ! Bravo aux gars pour leur retour dans le match, nous avons vu des joueurs se battre jusqu’à la fin ! Nous devions être plus réalistes aujourd’hui pour gagner ce match. Malheureusement, nous avons manqué d’efficacité pour repartir avec les 3 points. Nous continuons à travailler dur, le groupe vit bien et nous attendons le prochain match avec impatience. » A. Vialatte & I. Talovic & M. Castejon
YS & Région YLB – FC La Chaux-de-Fonds YLB 3 – 1 (0 – 0) « Nous sommes bien rentrés dans la rencontre en nous procurant quelques situations intéressantes, nous avons manqué de vitesse et de spontanéité et le défenseur adverse a pu intervenir in-extremis. Nous avons écopé de deux cartons jaunes durant ces quarante-cinq minutes. Le premier parce que notre joueur est revenu au jeu sans l’autorisation de l’arbitre après avoir reçu des « soins », complètement stupide de prendre un carton là-dessus. Le deuxième carton a été infligé à notre défenseur pour une faute à mi-terrain, très sévère. Nous avons donc évolué à dix contre onze presque la moitié de la première mi-temps. Nous avons essayé de casser le rythme et de prendre notre temps afin d’éviter d’encaisser un but durant ces périodes d’infériorité numérique. Nous regagnons les vestiaires sur un score de parité. Comme lors du premier acte, nous avons très bien abordé la rencontre et avons pris les choses en main sans pouvoir véritablement concrétiser nos bonnes intentions. Nous avons enfin pu changer le rythme du jeu et enflammer la rencontre. La délivrance est tombée à l’heure de jeu. Evan a anticipé l’erreur adverse et récupéré le cuir à 25 mètres des buts, puis il a trompé avec beaucoup de sang-froid le dernier rempart adverse. Dix bonnes minutes plus tard, nous avons doublé la mise suite à une passe en profondeur parfaitement dosée, Kaydim est parti seul au goal et a terminé le travail d’une frappe croisée très bien placée. Le but du KO a été inscrit à la 80ème minute de jeu sur corner. Le ballon a terminé sa course au deuxième poteau et Esimirt qui était au bon endroit au bon moment a réalisé une demi-volée croisée parfaite sur le plan technique. Le point noir de cette deuxième période restera ce but encaissé à la 90ème minute. Dommage de ne pas avoir pu réaliser un « clean-sheet », alors que nous avons été que très peu inquiétés. L’équipe a parfaitement géré le match dans son ensemble en restant solidaires et unis lors des périodes d’infériorité numérique. Nous avons assisté à quelques enchainements fluides et des combinaisons intéressantes, particulièrement en deuxième période durant laquelle nous étions en égalité numérique. Félicitations à l’ensemble du groupe pour cette belle performance. Cette victoire nous permet de passer devant notre adversaire du jour au classement et surtout de retrouver de la confiance. » F. Bovet & K. Gomes & M. Castejon
YS & Région M15 – FC Bienne M15 2 – 1 (1 – 1) « Suite au revers essuyé samedi dernier à Carouge, nous avions hâte de voir la réaction des garçons ce samedi contre le FC Bienne, adversaire contre lequel nous avions toujours eu droit à des matchs engagés. Après un début de match dans lequel nous répondions présent sans avoir la main mise sur le jeu, nous concédons l’ouverture du score à la 25ème sur une offrande de notre part, mais nous nous laissons pas intimider pour autant. Une belle réaction nous a permis d’équilibrer les débats et d’égaliser en fin de 1ère mi-temps sur une jolie combinaison de notre part. Lors de la 2ème mi-temps, les garçons ont continué leur montée en puissance, ce qui nous a permis de prendre le contrôle du jeu, tout en imposant plus de personnalité lors de nos duels et dans nos prises de décisions. Malgré quelques occasions non conclues de notre part, nous étions proches de prendre l’avantage. Enfin nous parvenons à marquer en toute fin de rencontre, à nouveau sur une jolie combinaison de l’équipe. Place maintenant à la Coupe suisse, avec la réception du FC Aarau samedi prochain ! » M. Boye & J. Demarque & R. Neves & Y. Gretler
Team ACGF-GEF FE14 – YS & Région FE14 Renvoyé
Team ACGF-GEF FE13 – YS & Région FE13 Renvoyé
YS & Région FE12 – FC Etoile Carouge FE12 2 – 6 « Semaine de décharge pour nos jeunes avec pour objectif de reprendre des forces et de l’énergie qui nous ont manqué le week-end passé. Début quelque peu compliqué au niveau du score mais pas de la performance collective, beaucoup mieux que la semaine passée. Belle opposition avec une très bonne équipe de Carouge en face. Il nous aura manqué un peu de détermination et de transition off-def pour réussir à mettre carouge plus en danger. On va repartir la semaine prochaine encore plus déterminé avec un groupe très homogène. » J. Brunet & A. Bencivenga & M. Galati & J. Nicolier & C. Meylan
Mouvement Riviera D9 Elites – YS & Région M13 1 – 3 « Début pas facile sur le terrain synthétique, un temps d’adaptation fût nécessaire. Le contrôle du jeu était en notre faveur, bonne présence dans les duels. Par moment de très belles combinaisons de passes mais un manque d’agressivité certain. Au 2ème quart, nous avons relâché un moment et nous avons pris un but, la réaction était là et on a égalisé juste après. Beaucoup de circulation de ballon sans trop concrétiser, de très belles balles jouées dans la profondeur, un peu brouillon dans la phase de la finition. Un 3ème quart sans trop de changement de jeu, on continue faire circuler le ballon, beaucoup d’occasion de buts. Dans le 4ème quart, on a augmenté un peu plus le rythme et ajouté plus agressivité dans les duels. La persévérance commence à payer, on passe devant et on commence à marquer. Beaucoup d’occasions de buts et très peu marqué malgré un penalty loupé et un but oublié sifflé par l’arbitre. Le travail commence à payer et nous continuons dans la progression du jeu. » A. Tor & N. Monge & C. Meylan
FC Cheseaux-Romanel D1 – YS & Région M11 Renvoyé
US Terre Sainte D1 – YS & Région M10 4 – 10 « Un temps glacial et un début de match très compliqué. Nous étions menés 2 à 0 après 3 minutes de jeu. Ca aurait pu décourager les joueurs, mais au contraire l’équipe a vite repris la main sur la rencontre et menait 4 à 2 à la mi-temps. Beaucoup de caractère chez des joueurs aussi jeunes. Deuxième et troisième mi-temps beaucoup plus décousues, mais globalement aussi de bonne qualité. Victoire 4 à 10 avec 6 buteurs différents, belle victoire d’équipe. » M. Sejmenovic & N. Vazquez